Venez nous rendre visite , c'est avec une immense plaisir que nous vous ferons déguster et partager notre amour du chocolat....Dans tous ses états !
CHOC REGUIN- Stéphane Reguin
Rue des 2 ponts
Genève
L'Excellence du chocolat à Genève .
Natel : 079 413 32 38
L’EXCELLENCE CHOCOLAT !
- L'origine du chocolat -
Un peu d’histoire...
Il était une fois un puissant roi aztèque qui s’appelait Quetzacoaltl. Il était le Dieu de la Lune. Il se rendit au pays des fils du Soleil pour y dérober le cacaoyer et l’offrir aux hommes.
Cette nouvelle plante s’appelait la Cacualt. Au 16ème siècle, les Aztèques tirent de la fève de cacao un breuvage amer et épicé : le « Tchocolatl » (alt = eau ; tchoco = bruit de battage) auquel ils attribuent des vertus merveilleuses contre la fatigue. Pour les Aztèques, le chocolat était à la fois monnaie et aliment.
En 1528, Herman Cortès, devenu gouverneur du Mexique après avoir fait disparaître les Aztèques, expédie le chocolat sans ménagement, comme une vulgaire monnaie d’échange, à la cour d’Espagne, où le chocolat fût apprécié à sa juste valeur. Le chocolat eut donc une grande influence sur les coutumes espagnoles mais c’est seulement à l’occasion du mariage de Louis XIII, en 1615, que la Princesse Anne présenta le chocolat à la cour de France. Le Pape Pie V ne l’aimait pas mais le cardinal Broncaccio, s’il n’autorisa pas le chocolat à paraître, même liquide, pendant le jeûne, permit qu’il soit croqué à Pâques.
De la cour de France, à la cour de Madrid, puis à celle de Vienne en 1711, le « Tchocolatl » mène une vie de fastes étourdissants. En 1720 à Venise comme à Florence, on l’accueille avec enthousiasme. En Allemagne et particulièrement en Suisse le succès ne se dément pas ; jusqu’en 1747, où Frédéric le Grand interdit le colportage, interrompant ces longs et fatigants voyages.
Enfin, un naturaliste suédois, Charles de Linné, s’éprend du chocolat et va jusqu’à le baptiser du petit nom élogieux de Théobroma ce qui, traduit du grec, signifie « nourriture de Dieu »…
Depuis, cette dernière est revenue et reste fidèle à son nom : Cacao.
Le cacaoyer
Le cacaoyer est un arbre très fragile de la taille d’un fruitier. Il est né au Mexique et ne vit que dans les climats tropicaux très humides. Supportant difficilement la lumière directe il pousse souvent à l’abri d’arbres plus hauts et plus robustes.
Un cacaoyer vit en moyenne 60 ans. Les fleurs poussent directement sur le tronc et les branches. Elles deviennent ensuite des fruits (qui apparaissent entre la 3ème et la 5ème année) à coques de forme ovoïde d’une longueur d’environ 15 cm et d’un poids de 200 à 800 grammes. Ces fruits sont appelés cabosses. Chacune d’elles contient de 20 à 40 fèves.
C’était autrefois la monnaie d’échange au Mexique.
Lorsque les fruits sont mûrs, ils sont cueillis avec un « fer à cacao », sorte de petite serpe fixée au bout d’un long manche en bois. Un cueilleur habile en détache 1500 par jour.
Le fruit cueilli est alors fendu avec une machette et vidé de ses fèves manuellement ce qui nécessite une importante main d’œuvre.